Jeudi 23 juillet 2020. Il est presque minuit quand j’arrive chez mes parents après une longue randonnée qui s’est amorcée vers 18 h 15, alors qu’une automobiliste m’a permis de voyager avec elle en covoiturage de Montréal jusqu’au Saguenay. Le ciel montréalais est le pire qui soit pour l’observation du ciel et des phénomènes astronomiques s’y déroulant. À plus… Lire la suite Les comètes de ma vie (Première partie)
Étiquette : Saint-David-de-Falardeau
Ça ira comme ça ira (Ébauche inachevée)
NDLR : Je n'ai pas écrit beaucoup depuis le début de la pandémie. Ce n'est pas parce que ça ne m'inspirait pas, mais plutôt parce que ce qui m'empêche d'écrire faisait trop ressentir ses effets. Dans le but d'assassiner ces blocages, voici une ébauche d'un billet inachevé. « Humain… Cela vient de « humus », la terre. Comme… Lire la suite Ça ira comme ça ira (Ébauche inachevée)
Notre-Dame-du-Beigne-Doré (La patate Dionne)
Deux lieux, deux incendies, deux époques différentes, deux réactions opposées. Octobre 2012, je débarque à Paris pour la première fois de mon existence pour deux semaines de péripéties inoubliables. Deux ou trois jours avant de retourner à Montréal, je passe devant Notre-Dame-de-Paris. Sans doute sous l’effet de la fatigue, je me suis dit que j’irais… Lire la suite Notre-Dame-du-Beigne-Doré (La patate Dionne)
« Je vais toujours t’aimer, je vais toujours penser à toi. »
Joshua a cinq ans. À la garderie, son meilleur ami était Patrick Perron, le fils de Mathieu Perron et de Vanessa Viger, une de mes cousines du côté paternel. Les trois sont morts le soir du 1er août 2015, résultat de leur rencontre avec la camionnette du chauffard Yves Martin. Quelques… Lire la suite « Je vais toujours t’aimer, je vais toujours penser à toi. »
D’un 2 octobre à l’autre
Je suis né le 2 octobre 1976, aux petites heures du matin, une semaine après que ma jeune mère eut célébré son 19ème anniversaire de naissance. C'était un samedi matin, et bien que je sois un authentique bleuet, ma naissance s'est déroulée dans un hôpital de la région de Québec, à Loretteville pour être… Lire la suite D’un 2 octobre à l’autre
Le grand vide au coeur du village
Je suis arrivé très tard jeudi soir, mais l'évidence frappe même dans l'obscurité. Le visage de mon village n'est déjà plus le même... Dès le lendemain matin, une visite au village à la lumière du jour permettait de s'en rendre compte. Le phare n'est plus, le repère s'en est allé, laissant des amas de métal… Lire la suite Le grand vide au coeur du village
Requiem pour une église
Un grand vide trône désormais au cœur de mon village. Il faudra s'y faire... Jusqu'à ce 28 mai 2016, Falardeau partageait un point commun avec Paris. Quand on est à Paris, peu importe où l'on se trouve dans la ville, on aperçoit la tour Eiffel. À Falardeau, c'était l'église, le plus haut bâtiment du village,… Lire la suite Requiem pour une église
Il ne me reste plus que l’écriture
Novembre 1987. C’est une soirée au clair de lune à l’aréna de mon village, un soir où l’éclairage de l’aréna est tamisé pour recréer le même effet que si l’on patinait sur un lac un soir de pleine lune. C’était l’époque où Europe et Bon Jovi ravageaient les palmarès mondiaux, où Madonna faisait de la… Lire la suite Il ne me reste plus que l’écriture
Marcher sur le gazon des Expos
Je n’ai jamais été un sorteux. J’ai toujours fui les mondanités, préférant m’amuser en solitaire. Je vis seul, suis célibataire et ne m’en plains pas. Je n’ai personne en vue dans ma vie et c’est tant mieux ainsi! Ça ne prenait que le baseball et la nostalgie des Expos pour me faire sortir de mon… Lire la suite Marcher sur le gazon des Expos
L’émoi des tempêtes
Me voici faisant de moi-même un genre de Mélanie Joly de l’écriture, me remettant à écrire sur ce blogue en promettant un texte par jour, et en faisant le contraire peu de temps après, en me fermant le clapet. Je rouvre ma trappe pour ne pas la fermer, ou du moins pour ne pas l’empêcher… Lire la suite L’émoi des tempêtes