Je suis arrivé très tard jeudi soir, mais l'évidence frappe même dans l'obscurité. Le visage de mon village n'est déjà plus le même... Dès le lendemain matin, une visite au village à la lumière du jour permettait de s'en rendre compte. Le phare n'est plus, le repère s'en est allé, laissant des amas de métal… Lire la suite Le grand vide au coeur du village
Étiquette : n’importe quoi.
La fête de la bonne femme Élizabeth (court essai de lèse-majesté)
Ainsi celle qui orne nos billets de 20$ a célébré son 90ième anniversaire de naissance récemment. Grand bien lui fasse. Après tout, elle a quand même de la classe, la bonne femme. Cultivée, souriante, les Britanniques ont toutes les raisons du monde d'être fière d'elle. C'est leur reine et c'est une bonne reine pour eux.… Lire la suite La fête de la bonne femme Élizabeth (court essai de lèse-majesté)
Dégel
"Il me restait l'ennui, il me restait l'mépris, Enfin, que j'me suis dit, il me reste la vie. J'ai repris mon bâton, mon deuil, mes peines et mes guenilles Et je bats la semelle dans des pays de malheureux Aujourd'hui quand je vois une fontaine ou une fille, Je fais un grand détour ou bien… Lire la suite Dégel
Madonna est la nouvelle Mariah Carey
Il y a longtemps que je n’ai pas écrit sur l’univers de la musique populaire, un univers que j’ai perdu de vue depuis que je ne fais plus de radio. Tiens, ramenons-nous à l’époque où j’en faisais, et aussi pendant celle où je pensais être en mesure d’en faire à nouveau. Je me tenais à… Lire la suite Madonna est la nouvelle Mariah Carey
Un mois sans cellulaire (Ayoye mon crédit!)
Et si je me permettais d’écrire un truc joyeux sur quelque chose qui, en ces temps où la technologie évolue à la vitesse de l’éclair, pourrait avoir des allures de tragédie? Ayant eu à me battre contre Stephen Harper et ses soldats-fonctionnaires combattant tout chômeur désireux d’être à son compte plutôt que d’aller virer des… Lire la suite Un mois sans cellulaire (Ayoye mon crédit!)
Conversation avec Épaisse (tribulations d’un travailleur autonome en recherche de contrats)
NDLR : Épaisse est un personnage fictif largement inspiré de clientes marquantes de mon époque de caissier de librairie. C'est un mélange de la dame aux horribles chapeaux et à la dentition de castor qui pourrait laisser croire qu'elle travaille comme circonciseuse à l'Hôpital Juif, d'une autre dame qui dit avoir 53 ans mais qui paraît… Lire la suite Conversation avec Épaisse (tribulations d’un travailleur autonome en recherche de contrats)
Varia #1
Vous savez ce point qu'on rajoute à la fin de chaque réunion à laquelle on assiste, celui où on peut rajouter des points concernant n'importe quoi... C'est ce qui m'inspire dans ce premier billet d'un genre que je prendrai les jours où je n'aurai pas beaucoup de choses à dire mais plusieurs sujets à aborder.… Lire la suite Varia #1
Malaise au Gravillon
Juin 1994. J'ai 17 ans, et je m'apprête à compléter mon secondaire par le traditionnel bal des finissants, lequel a eu lieu le 2 juin à l'Hôtel Le Montagnais de Chicoutimi. Dieu qu'on l'attendait, cette soirée-là! Maintenant qu'elle arrivait, tous les étudiants de cinquième secondaire de l'École Secondaire Charles-Gravel (qu'on nommait encore Polyvalente à l'époque)… Lire la suite Malaise au Gravillon
Panne sèche
C'est le genre de situation que chaque écrivain a à affronter un jour ou l'autre, celui de devoir affronter une panne sèche d'inspiration. Ce ne sont jamais des moments agréables à vivre, mais ils s'avèrent toujours comme un mal nécessaire qui confrontent l'écrivain à sa nature réelle et à son obligation de produire.On conseille aux… Lire la suite Panne sèche
Jean voit promener l’amour – Les beaux yeux du Bas-du-Fleuve (partie 2)
Pour lire la première partie, cliquez ici!! Je t'attends au Café Rimbaud Je sais que tu ne viendras pas J'écris dans un carnet de notes Une mélodie au crayon feutre Une chanson pour la radio - Café Rimbaud, Lucien Francoeur Jean avait fait la connaissance des Beaux Yeux du Bas-du-Fleuve (qu'on va surnommer BYBF) via… Lire la suite Jean voit promener l’amour – Les beaux yeux du Bas-du-Fleuve (partie 2)