Comme bien des gens, je n’en peux plus de voir Jean Charest diriger le Québec, tellement que j’ai hâte au jour où la population lui signifiera lors d’une élection que le volant de la province ne doit plus se retrouver entre ses mains.
Techniquement, Jean Charest peut rester premier sinistre jusqu’au 8 décembre 2013, mais si on essaie quelque chose, peut-être parviendrons-nous à anticiper ce rendez-vous électoral que nous espérons tous pour le plus tôt possible.
Désormais, quand une firme de sondage téléphonera chez moi, je dirai que mon vote ira au Parti Libéral du Québec et que je suis très satisfait du gouvernement actuel.
Je répondrai la même chose si je tombe sur un sondage internet.
Balançons de la bouillie pour les chats aux sondeurs, gardons notre véritable choix pour l’isoloir.
Devant des chiffres si favorables, Charest n’aura aucune idée du précipice vers lequel il se dirige lorsque se révélera le choix réel de la population le soir du scrutin.
Pour une fois, nous pourrons nous foutre de sa gueule et même danser sur sa tombe politique. Il saura au moins une fois dans sa vie c’est quoi se faire mentir en pleine face.
Ça serait le fun, hein??
Je sais, je rêve en couleurs…
Les écrits de Jean Tremblay 