Je suis en train d’écrire une oeuvre qui me demande beaucoup de mon temps. Elle occupe toute mon imagination ces temps-ci. Chaque tournure de phrase potentielle mijote dans mon esprit et continuera à le faire tant que je ne les aurai pas préalablement couchées sur papier.
Ces temps-ci, l’oeuvre ne progresse pas comme je le souhaiterais. Je fais face au doute, doute qui me pousse même parfois à mettre illico fin à l’aventure.
Mais par je ne sais trop quel miracle, je renonce à ces idées, me disant qu’il faut absolument que je pousse ce texte jusqu’à son accomplissement final.
Je tiens à le compléter pour provoquer le destin, ne serait-ce qu’un peu. Comme si le reste de ma vie dépendait de la parution de ce texte.
Ne me demandez pas quand ça sera prêt. Ça le sera quand ça le sera. Cela peut être pour dans deux jours comme ça peut être dans deux mois.
En attendant, je me fais un devoir moral d’écrire ici juste pour réchauffer ma plume. Ça aussi, je me dois de le faire sinon je deviens le meilleur allié de ce silence que je m’étais imposé il y a de ça trois ans et dont je tente de m’extirper car j’estime qu’il a assez duré.
Je jaserai de n’importe quoi. Je dirai n’importe quoi, mais pas n’importe comment.
Et même si personne ne me lit, je m’en fous! C’est le réchauffement de la plume qui est la priorité!
Ne lâche pas Jean la ténacité voila ta force ,et tu auras surement des lecteurs ca c’est assuré .